Citation d’un roman formidable de l’espagnol Carlos Ruiz Zafon, “L’ombre du vent” :
“Le destin attend toujours au coin de la rue. Comme un voyou, une pute ou un vendeur de loterie : ses trois incarnations favorites. Mais il ne vient pas vous démarcher à domicile. Il faut aller à sa rencontre.”
– dans la bouche du truculent personnage Fermin.
Entre le lâcher prise et ça, pas toujours facile de trouver le juste milieu/équilibre… et moi, j’ai tendance à courir jusqu’au coin de la rue.
Initialement publié le / Originally posted on 28 avril 2016 @ 7:16 am